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GOLDMAN SACHS: 4 transitions clés à surveiller en 2017

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Un trader de Goldman Sachs au New York Stock Exchange (NYSE). REUTERS/Lucas Jackson

Un trader de Goldman Sachs au New York Stock Exchange (NYSE). REUTERS/Lucas Jackson

Alors que l'année 2016 approche de sa fin, le département asset management de Goldman Sachs a publié ses prévisions pour l'économie mondiale et les marchés financiers en 2017.

L'entreprise semble plutôt optimiste pour la reprise de la croissance mondiale et parie sur la poursuite d'un long cycle de développement économique en 2017. "Nous pensons que la croissance va gagner davantage de pays et l'économie mondiale sera soutenue par plus de forces qu'on ne l'avait constaté depuis 2010", indique le rapport prévisionnel.

Goldman Sachs recommande aussi "d'élargir l'exposition au-delà des actions et obligations conventionnelles".

Surtout, la banque a identifié 4 transitions économiques à surveiller en 2017. Nous les avons listées ci-dessous avec le commentaire de Goldman Sachs.

1. Du mondialisme au populisme

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Les événements politiques clés à suivre en 2017. Goldman Sachs

Goldman Sachs estime que "la plus importante transition dans l'environnement actuel" est un éloignement du "mondialisme, qui a apporté davantage de flux transfrontaliers de biens et de personnes". "Après des années de croissance économique molle et un accroissement des inégalités, l'adhésion pour des partis avec des messages populistes — souvent focalisés sur une fiscalité allégée, une réforme de l'immigration et/ou une politique commerciale protectionniste — n'a cessé de progresser au fil des dernières années."

Pour Goldman Sachs, ce mouvement a déjà remporté "deux victoires majeures en 2016": le vote en faveur du Brexit au Royaume-Uni et l'élection de Donald Trump aux Etats-Unis. 

"En 2017, nous allons surveiller de près la vigueur de cette tendance populiste en raison de son impact potentiel sur l'Europe et d'une probabilité plus élevée de politiques commerciales protectionnistes."

2. De la stagnation à l'inflation

Goldman Sachs

Les prix du pétrole pourraient participer à la relance s'ils se stabilisent. Goldman Sachs

Après un temps de faible inflation et de croissance symbolique, les attentes sont relevées pour ces deux pôles, note Goldman Sachs. "Avec un marché de l'emploi qui se crispe, un boost sur les effets de base du au prix de l'énergie et des perspectives fiscales plus inflationnistes, l'attente en matière de prix et d'inflation a déjà été significativement relevée."

3. De la politique monétaire à la politique fiscale

Goldman Sachs

Infrastructure globale: de nombreuses variables vont déterminer qui en profitera potentiellement. Goldman Sachs

"Nous voyons une divergence de politique monétaire arriver à de nouveaux extrêmes. Nous pensons que la Fed pourrait relever ses taux d'intérêt au moins deux fois, tandis que la BCE et la Banque du Japon étireront jusqu'au bout leurs capacités de détente quantitative", estime Goldman Sachs.

Avec des croissances balbutiantes des deux côtés de l'Atlantique, la politique de relance passera plutôt par la fiscalité, "à la fois pour compenser des années d'austérité douloureuse et par reconnaissance d'un besoin de rénover les infrastructures". "Cette transition est importante à surveiller car elle pourrait déboucher sur un meilleur équilibre politique pour soutenir la croissance et les résultats financiers des entreprises, ou bien faire grimper la dette et l'inflation et déclencher plus de volatilité sur les marchés matures ou émergents". 

4. De la régulation à la dé-régulation

Goldman Sachs

La régulation est l'une des préoccupations principales des PME américaines. Goldman Sachs

"Les perspectives en matière de dépenses fiscales ont retenu beaucoup d'attention, mais le potentiel d'une dé-régulation pourrait avoir plus d'impact sur la croissance et les marchés en 2017. Aux Etats-Unis, les changements de régulation proposés par Donald Trump visent à améliorer l'accès au capital et à réduire les barrières à l'entrée de la création d'entreprise. En Europe, l'adhésion d'entreprises au Brexit était motivée par leurs craintes d'une régulation excessive, et les institutions financières européennes ont commencé à s'opposer aux mesures réglementaires de l'après-crise. Pendant ce temps, la Chine continue de chercher le bon mix de régulation et de politique de relance pour faire avancer des réformes structurelles tout en maintenant sa croissance économique. Par conséquent, nous surveillerons les divergences réglementaires dans l'économie mondiale et le potentiel d'une dé-régulation compétitive", note Goldman Sachs.

Version originale: Prashanth Perumal/Business Insider

Lire aussi : Voici les événements imprévisibles qui représentent un risque pour les marchés financiers mondiaux

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Mario Draghi: 'L'euro est irréversible'

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BCE, Mario Draghi

Mario Draghi, le président de la BCE. REUTERS/Ralph Orlowski

La Banque centrale européenne (BCE) a tenu ce jeudi après-midi sa réunion de politique monétaire. 

A cette occasion, son président Mario Draghi a déclaré que la BCE ne considère pas l'éventuelle dislocation de la zone euro comme un risque sérieux, même si elle se tient prête à faire face à d'éventuelles menaces:

"Franchement, je ne l'anticipe pas. Il y a des tensions mais rien qui soit grave à ce point. En tout cas, (...) nous sommes prêts. L'euro est irréversible."

Lors de cette annonce de Mario Draghi, l'euro est passé au-dessus des 1,06 dollar sur le marché des changes. 

Comme on peut le voir sur le graphique ci-dessous, l'euro a gagné 0,62% à 1,0606 vers 15h20 (heure française).

Les marchés financiers ont commencé à intégrer dans leurs valorisations la possibilité d'un éclatement de la zone euro, en raison des scores élevés que pourraient réaliser des partis politiques hostiles à la monnaie unique lors des élections aux Pays-Bas et en France ce printemps, et dans une moindre mesure en Allemagne en septembre.

"L'euro est perçu comme la précondition du marché unique. S'il n'y a pas de marché unique, il n'y a pas d'Union européenne", a ajouté Mario Draghi lors de cette conférence de presse.

La BCE a par ailleurs annoncé que sa politique monétaire reste inchangée et qu'elle relève sa prévision d'inflation 2017 dans la zone euro à 1,7%, soit 0,4 point de plus qu'en décembre 2016, à cause l'augmentation des cours du pétrole.

Lire aussi : L’économie mondiale progressera de 3,3% en 2017 — ces pays seront moteurs de croissance

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La BCE maintient sa politique monétaire inchangée et ignore l'éventuelle élection d'Emmanuel Macron

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Le président de la BCE Mario Draghi en conférence de presse à Francfort, le 27 avril 2017. REUTERS/Kai Pfaffenbach

Le Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE) s'est réuni ce jeudi à Francfort pour sa réunion d'avril, à l'issue de laquelle la BCE a dit qu'elle maintenait sa politique de taux et de rachats d'actifs inchangés

Le taux de refinancement, principal instrument de la politique monétaire de la BCE, reste à zéro, le taux de la facilité de dépôt à -0,40% et le taux de prêt marginal à 0,25%. Les rachats d'actifs sont maintenus à 60 milliards d'euros jusqu'à fin décembre.

Cette décision sur les taux et les rachats d'actifs était attendue.

Les observateurs guettaient surtout la conférence de presse mensuelle du président de la BCE, Mario Draghi, à 14h30.

En effet, la qualification d'Emmanuel Macron face à Marine Le Pen pour le second tour est perçue comme un motif pour la BCE d'être plus confiant et offensif. Dès lundi, lendemain du premier tour, les marchés se sont montrés plus orientés vers le risque.

Dans ses commentaires, Mario Draghi a toutefois fait preuve d'une certaine prudence, indiquant que "les risques entourant les perspectives de croissance au sein de la zone euro restent orientés à la baisse tout en évoluant vers une configuration plus équilibrée".

Interrogé, ensuite, sur l'influence d'une victoire d'Emmanuel Macron le 7 mai prochain sur la perception du risque baissier en zone euro, Mario Draghi a rétorqué: 

"Nous ne conduisons pas de politique monétaire en fonction la probabilité de résultats électoraux."

Dans ses remarques liminaires, pour expliquer la décision du Conseil des gouverneurs, Mario Draghi a aussi indiqué:

"Les dernières données disponibles depuis notre réunion du début du mois de mars confirment que la reprise cyclique de l'économie de la zone euro devient de plus en plus solide et que les risques baissiers ont diminué."

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La BCE maintient sa politique monétaire inchangée en juillet

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Le président de la Banque centrale européenne Mario Draghi. REUTERS/Ints Kalnins

La Banque centrale européenne (BCE) n'a pas touché à ses taux directeurs jeudi, comme on s'y attendait, laissant même la porte ouverte à une augmentation des rachats d'actifs si la conjoncture se dégradait.

Après avoir évoqué la perspective d'un tour de vis le mois dernier, la BCE signale peut-être ainsi que tout changement n'interviendra que lentement et progressivement, retirant à l'économie son soutien monétaire sur une période de plusieurs années.

Mais dans la mesure où l'économie de la zone euro est en croissance depuis 17 trimestres d'affilée, une série inédite depuis la crise financière internationale, la BCE peut au moins envisager de mettre la pédale douce après avoir imprimé près de 2.000 milliards d'euros pour relancer la croissance.

Pour ce qui est des taux, le taux de refinancement reste à 0,00%, le taux de facilité de dépôt à -0,40% et le taux de prêt marginal à 0,25%. Les rachats d'actifs mensuels restent d'un montant de 60 milliards d'euros.

"Si les perspectives deviennent moins favorables ou si les conditions financières deviennent incompatibles avec tout nouveau progrès vers un ajustement régulier de la trajectoire d'inflation, le Conseil des gouverneurs se tient prêt à augmenter le programme en taille et/ou en durée", explique l'institut d'émission dans un communiqué.

Le président Mario Draghi donnera comme à l'accoutumée une conférence de presse à 12h30 GMT pour expliquer la décision de l'établissement.

On pense qu'il laissera la porte ouverte à un ajustement de la politique monétaire dès septembre, sans être plus précis.

L'euro a accentué sa baisse face au dollar et les rendements des obligations d'Etat de la zone euro ont reflué, ceux du Bund allemand à 10 ans et de l'OAT française de même échéance se retournant à la baisse.

Les annonces de la BCE ont eu peu d'effet sur les indices boursiers européens et sur les contrats à terme des indices de Wall Street.

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La BCE maintient sa politique monétaire inchangée — Mario Draghi donne rendez-vous en octobre

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Le président de la BCE Mario Draghi à Lindau, en Allemagne, le 23 août 2017. REUTERS/Arnd Wiegmann

Le Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne s'est réuni ce jeudi 7 septembre après une trêve estivale pour annoncer ses dernières décisions en matière de politique monétaire. 

Comme attendu, la politique monétaire de la BCE ne change pas: les taux d'intérêts ou les rachat d'actifs — programme de soutien à l'économie — ne sont pas modifiés.

Le taux de refinancement, principal instrument de la politique monétaire de la BCE, reste ainsi à zéro, le taux de la facilité de dépôt à -0,40% et le taux de prêt marginal à 0,25%. Les rachats d'actifs sont maintenus à 60 milliards d'euros jusqu'à fin décembre "ou ou au-delà, si nécessaire, et, en tout cas, jusqu’à ce que le Conseil des gouverneurs observe un ajustement durable de l’évolution de l’inflation conforme à son objectif".

"Le Conseil des gouverneurs prévoit que les taux d’intérêt directeurs de la BCE resteront à leurs niveaux actuels pendant une période prolongée, et bien au-delà de l’horizon fixé pour les achats nets d’actifs", a ajouté la BCE dans un communiqué.

Mais les investisseurs guettaient surtout les déclarations du président de la BCE Mario Draghi. Outre ses prévisions économiques, ils guettaient les éventuelles indications sur le calendrier et les modalités possibles de la réduction d'achats d'actifs, sur les perspectives d'évolution de l'inflation et sur l'impact de l'appréciation continue de l'euro.

Voici ce que Mario Draghi a déclaré jeudi après-midi sur ces sujets lors d'une conférence de presse à Francfort: 

"La récente volatilité du taux de change représente une source d'incertitude qui nécessite un suivi de ses implications possibles pour la perspective à moyen terme de stabilité des prix."

"Les perspectives d'inflation à moyen terme ont été révisées en baisse dans les projections des équipes [de la BCE], ce qui signifie que nous devrons prendre cet élément en compte dans notre panoplie d'informations pour nos décisions de politique [monétaire] à venir."

"L'expansion économique, qui a accéléré plus que prévu sur la première moitié de 2017, demeure solide et généralisée à travers les pays et les secteurs."

"Cet automne, nous déciderons du calibrage de nos instruments de politique [monétaire] au-delà de la fin de l'année, en prenant en compte la trajectoire attendue de l'inflation et les conditions financières nécessaires pour un retour durable du taux d'inflation vers des niveaux proches mais inférieurs à 2%"

"A propos de la date [sur le futur du programme QE, ndlr]: comme déjà dit le Conseil des gouverneurs en discutera cet automne, c'est un sujet complexe mais probablement que l'essentiel de ces décisions sera pris en octobre."

"Notre programme a été conçu pour implémenter notre mandat. Et notre mandat est de maintenir la stabilité des prix dans toute la zone euro. C'est ce qui détermine le sens, la dimension, le timing du programme [de QE]."

En juillet, Mario Draghi avait déjà laissé entendre que l'on discuterait en automne d'une éventuelle nouvelle réduction du programme de rachat d'actifs, déjà ramené de 80 milliards à 60 milliards d'euros début 2017. Mais depuis, l'euro s'est renforcé face au dollar, ce qui pourrait dissuader la BCE de prendre une nouvelle décision de ce type. 

L'euro progresse de plus de 14% face au dollar depuis le début de l'année, ce qui reflète l'amélioration de la conjoncture économique dans l'union monétaire mais pèse sur les perspectives d'inflation.

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La Banque centrale européenne réduit son soutien à l'économie

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Le président de la BCE Mario Draghi à Washington, le 14 octobre 2017. REUTERS/Yuri Gripas

Le Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne s'est réuni ce jeudi 26 octobre pour annoncer ses dernières décisions en matière de politique monétaire, et surtout les modalités de prolongation de son programme de soutien à l'économie. 

Ces dernières correspondent à ce que le marché anticipait, à savoir une réduction de son programme de rachats d'actifs à 30 milliards d'euros par mois, contre 60 milliards d'euros actuellement.

Cette réduction entrera en vigueur dès janvier 2018 et durera jusqu'en septembre prochain au moins. 

Pour certains observateurs, il s'agit d'un ajustement "historique", dans la mesure où il rapproche encore un peu plus la fin au programme d'achat massif d'actifs en vigueur depuis le printemps 2015 pour relancer crédit, inflation et économie de la zone euro.

Mais Mario Draghi, le président de la BCE, a veillé à rappeler — une fois encore — que cette fin arriverait progressivement. La BCE a ainsi précisé être prête à augmenter ou prolonger ces achats d'actifs si la conjoncture devait changer.

"Cela ne va pas s'arrêter brutalement. Cela n'a jamais été notre but d'arrêter ce programme brutalement", a insisté Mario Draghi lors d'une conférence de presse pour commenter ces décisions. 

Dès le mois de juillet dernier, il avait laissé entendre que l'on discuterait en automne d'une éventuelle nouvelle réduction du programme de rachat d'actifs, déjà ramené de 80 milliards à 60 milliards d'euros début 2017. 

Si Mario Draghi avance avec tant de prudence, c'est pour éviter une panique sur les marchés, comme lorsque la Fed américaine avait annoncé en 2013 un arrêt net du rachat d'actifs, rappellent Les Echos

Il a aussi démenti qu'il y avait un plafond de 2500 milliards d'euros pour le rachat d'actifs total par la BCE. D'ici la fin de l'année, la BCE devrait avoir consacré au total 2280 milliards d'euros au rachat d'actifs et les engagements pris pour 2018 à date représentent au total 270 milliards d'euros supplémentaires. 

"Le recalibrage de nos achats d'actifs reflète une confiance grandissante dans la convergence de l'inflation vers notre (...) objectif sur la base de l'expansion économique de plus en plus robuste et généralisée, d'un redressement des mesures de l'inflation sous-jacente et de la poursuite de la transmission efficace de nos mesures de politique monétaire aux conditions de financement de l'économie réelle", a-t-il expliqué. 

La BCE a maintenu, comme attendu, ses taux à leurs niveaux actuels — nul pour le taux de refinancement, -0,40% pour le taux de dépôt, 0,25% pour le taux de facilité de crédit.

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La BCE fait un tout petit pas vers la sortie de son programme de soutien à l'économie

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Le président de la Banque Centrale Européenne (BCE) Mario Draghi. REUTERS/Francois Lenoir

L'euro hésite face au dollar et les rendements des emprunts d'Etat de la zone euro progressent jeudi après les annonces de la Banque centrale européenne (BCE), qui a fait un tout petit pas vers la sortie de son programme d'assouplissement quantitatif (QE).

L'institution de Francfort a confirmé sa politique monétaire ultra-accommodante mais a renoncé à son engagement à augmenter si nécessaire le montant mensuel de ses rachats d'actifs, se rapprochant ainsi très légèrement d'un arrêt de cette mesure non conventionnelle.

En légère baisse face au dollar avant le communiqué de la BCE, l'euro a gagné jusqu'à plus de 0,2%, avant de s'apaiser puis de repasser dans le rouge pendant la conférence de presse de son président, Mario Draghi.

Ce dernier a notamment déclaré que la décision de la BCE n'indiquait pas de…

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Les Etats-Unis mettent à jour leur liste de pays susceptibles d'être des 'manipulateurs de monnaie'— sans tenir une promesse emblématique de Donald Trump

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Un faux billet de 1000 rupee brandi lors d'une manifestation contre la politique de démonétisation du Premier ministre de l'Inde Narendra Modi. REUTERS/Amit Dave

Les Etats-Unis viennent de mettre à jour leur liste des pays soupçonnés de manipuler leur monnaie.

Dans la dernière édition de son rapport bi-annuel, le Trésor américain ajoute l'Inde à sa liste de pays sous surveillance.

Les six pays sous surveillance par les Etats-Unis sont désormais:

  •  l'Allemagne,
  • la Chine,
  • la Corée,
  • l'Inde
  • le Japon
  • la Suisse. 

Ils remplissent deux des trois critères scrutés par le Trésor — (1) un surplus commercial avec les Etats-Unis d'au moins 20 milliards de dollars, (2) un excédent du compte courant d'au moins 3 % du produit intérieur brut  et (3) une intervention persistante et unilatérale par l'achat net de devises de façon répétée et totalisant au moins 2 % du PIB d'une…

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La BCE laisse sa politique inchangée — elle livre un discours identique à celui du mois dernier

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Le président de la Banque Centrale Européenne (BCE) Mario Draghi. REUTERS/Kai Pfaffenbach

La Banque centrale européenne (BCE) a confirmé jeudi 26 avril 2018 sa politique monétaire ultra-accommodante, a redit qu'elle maitiendrait ses taux stables bien après la fin de son programme de rachats d'actifs et n'a toujours pas exclu de l'augmenter si nécessaire.

La BCE a laissé ses taux à leurs plus bas records et confirmé que son programme de rachat d'actifs d'un montant de 30 milliards d'euros par mois sera poursuivi au moins jusqu'à la fin septembre ou jusqu'à ce qu'elle constate un ajustement durable de la trajectoire d'inflation.

Alors que l'économie de la zone euro a renoué avec la croissance depuis cinq ans, les responsables monétaires débattent des modalités et du calendrier d'un nouveau ralentissement de la stimulation monétaire, espérant qu'une expansion soutenue et riche en emploi permettra de…

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La BCE vient d’annoncer la date de fin de son programme de soutien à l’économie

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President of the European Central Bank Mario Draghi listens during the news conference following the meeting of the Governing Council of the European Central Bank in Riga, Latvia June 14, 2018. REUTERS/Ints Kalnins

Le conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE) s'est réuni à Riga, en Lettonie, ce jeudi 14 juin 2018.

A l'issue de cette réunion, la BCE a précisé comment allait évoluer son programme de rachats d'actifs.

Depuis mars 2015, la BCE s'adonne à des achats massifs de dettes publiques et privées sur le marché secondaire. C'est la fameuse politique monétaire d'assouplissement quantitatif, ou quantitative easing (QE), destinée à soutenir les prix et l'économie de la zone euro. Cette politique monétaire a déjà conduit aux rachats de près de 2500 milliards d'euros d'actifs.

Voici ce qui a été annoncé:

  • Une réduction des rachats d'actifs à partir d'octobre 2018, qui…
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L'euro est en repli et les marchés actions montent après les annonces de la BCE

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Le président de la BCE Mario Draghi à Riga, le 14 juin 2018. REUTERS/Ints Kalnins

La Banque centrale européenne (BCE) a annoncé jeudi 14 juin qu'elle allait réduire le volume de ses achats d'actifs à partir d'octobre 2018, à 15 milliards d'euros par mois contre 30 milliards depuis le début de l'année.

Cette politique d'assouplissement quantitatif (quantitative easing) doit prendre fin à l'issue du mois de décembre. 

Les taux de la BCE doivent de leur côté rester inchangés jusqu'à l'été 2019.

Après ces annonces, l'euro a reculé de 1,03% par rapport au dollar, sa plus forte baisse en une séance depuis octobre 2017.

Les marchés européens ont accueilli favorablement les décisions de la BCE, le repli de l'euro dopant les cours de Bourse.

Cours du CAC 40 jeudi 14 juin 2018, à 16h02 Investing.com

Le CAC 40 est ainsi…

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La BCE laisse inchangée sa politique monétaire et n'envisage pas de remontée de ses taux avant l'été 2019

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Le président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, à Bruxelles, le 9 juillet 2018. REUTERS/Francois Lenoir

La Banque centrale européenne (BCE) a maintenu jeudi sa politique monétaire inchangée, comme attendu, et a confirmé son intention de mettre un terme à son programme d'assouplissement quantitatif (QE) à la fin de l'année et de laisser ses taux directeurs à leurs niveaux actuels "au moins jusqu'à l'été 2019".

L'institution monétaire a annoncé le mois dernier son intention de mettre un terme à son programme de rachats d'actifs d'un montant total de 2.600 milliards d'euros à la fin de l'année en dépit du ralentissement de la croissance intervenu au sein de la zone euro.

En revanche, l'inflation a rebondi et a convergé vers l'objectif de la BCE d'une hausse des prix légèrement inférieure à 2% l'an, justifiant aux yeux des tenants de l'orthodoxie monétaire une normalisation de la…

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Voici pourquoi la Banque centrale européenne ne lutte pas contre le changement climatique

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Tempête tropicale Harvey à Beaumont Place, Houston, Texas, aux Etats-Unis, le 28 août 2017. REUTERS/Jonathan Bachman

Si on peut considérer que la lutte contre le changement climatique devrait être l'affaire de tous, la Banque centrale européenne (BCE) préfère, elle, ne pas prendre d'initiatives sur le sujet.

Le Luxembourgeois Yves Mersch, membre du directoire de l'institution, a expliqué pourquoi dans un discours prononcé mardi 27 novembre à Francfort et retranscrit sur le site de la BCE.

L'ex-gouverneur de la Banque centrale du Luxembourg a invoqué six raisons, à quelques jours de l'ouverture de la COP24 en Pologne lundi 3 décembre:

Les enjeux climatiques sont trop éloignés de la politique monétaire.

Extrait du film Dunkerque, de Christopher Nolan. YouTube/Warner Bros. France

"La littérature économique sur les impacts des…

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La Banque centrale européenne confirme la fin de son programme de rachat d'actifs — mais elle a d'autres moyens pour stimuler l'économie européenne

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Le président de la BCE, Mario Draghi. REUTERS/Ralph Orlowski

La Banque centrale européenne (BCE) tenait sa réunion mensuelle sur l'évolution de sa politique monétaire, ce jeudi 13 décembre à son siège de Francfort, en Allemagne.

Le Conseil des gouverneurs, qui regroupe les six membres de son directoire et les 19 gouverneurs des banques centrales de la zone euro, n'a pas créé la surprise. 

Le président de la BCE, Mario Draghi, a fait les annonces suivantes à l'issue de la réunion:

  • La BCE laisse ses taux directeurs inchangés, "au moins jusqu'à l'été 2019". Les taux d'intérêt des opérations principales de refinancement, ainsi que ceux de la facilité de prêt marginal et de la facilité de dépôt, demeurent donc respectivement à 0,0 %, 0,25 % et -0,4 %;
  • Comme prévu, elle met fin à son programme de rachats d'actifs dit "d'assouplissement quantitatif" ("quantitative easing" ou…
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La Banque centrale européenne laisse sa politique monétaire inchangée en dépit du ralentissement de la zone euro

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Le président de la Banque centrale européenne, l'Italien Mario Draghi. REUTERS/Vincent Kessler

La première réunion de l'année du Conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE) s'est tenue ce jeudi 24 janvier à Francfort, en Allemagne, où se trouve le siège de l'institution.

La BCE a décidé de laisser sa politique monétaire inchangée par rapport à la précédente réunion de l'institution en décembre. 

Les membres de son directoire et les 19 gouverneurs des banques centrales de la zone euro se retrouvaient dans un contexte de ralentissement de l'économie mondiale et d'incertitudes liées à l'enlisement des négociations sur le Brexit. 

Voici plus en détails ce qu'a décidé la BCE:

  • L'institution maintient ses taux à un niveau très bas, voire négatifs: les taux d'intérêt des opérations principales de refinancement, ainsi que ceux de la facilité de prêt marginal et de la facilité de dépôt, demeurent donc respectivement à 0,0 %, 0,25 % et -0,4 %;
  • Ses taux demeureront à leurs niveaux actuels "au moins jusqu'à l'été 2019" et "aussi longtemps que nécessaire" pour que l'inflation s'oriente vers l'objectif de la BCE, soit une hausse des prix proche de 2%. L'institution n'a pas fourni plus de précisions, alors que les marchés financiers anticipent un premier relèvement des taux pas avant mi-2020, face au ralentissement de la croissance dans la zone euro;
  • La BCE a aussi rappelé qu'elle prévoyait de continuer "aussi longtemps que nécessaire" à réinvestir la totalité des montants perçus à l'échéance des obligations qu'elle détient et qu'elle a acquises dans le cadre de son vaste programme de rachats d'actifs, lancé en 2015 pour stimuler l'économie de la zone euro et qui a pris fin au 31 décembre 2018;
  • Ses réinvestissement se poursuivront "pendant une période prolongée" après la date à laquelle la…
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